Badialo s’exprime : L’égalité homme femme, un enjeu social ?

Que la paix soit en nous mes chères soeurs en humanité et en Dieu 🙂

Savez-vous que les jeunes ont une grande capacité d’apprentissage mais que celle-ci n’est pas toujours mis à profit? Plus les jeunes auront acquis de compétences sociales et découvert des outils de gestion socio-émotionnelle, plus ils pourront se donner les moyens de leurs projets, de leurs choix, de leurs ambitions et de leur avenir dans la co-responsabilité et la confiance. Ils apprennent moins en suivant nos directives qu’en étant directement impliqués dans des situations concrètes d’apprentissage. Nous devons adopter une attitude parentale qui vise « à faire avec eux » pour les aider à s’entraîner et à se sentir capables. Quel que soit leur âge, et même s’ils pensent déjà tout savoir, nous pouvons encourager nos jeunes à grandir en autonomie et en compétences et à développer une attitude proactive qui leur permettra de faire face aux difficultés de la vie. Un exercice que j’offre aux jeunes que j’accompagne. Justement aujourd’hui, je donne la parole à une jeune femme pleine de vie Badialo, âgée de 19 ans et étudiante en droit. Dans cet article elle souhaite s’exprimer sur « l’égalité homme/femme : un enjeu social? » et à la fin elle se présente à vous et explique son choix pour cette thématique. Bonne lecture 🙂


« C’est Lui qui vous a créés d’un seul être dont il a tiré son épouse, pour qu’il trouve de la tranquillité auprès d’elle » (s.15 v. 189)

Ce verset possède deux aspects. Ici, Allah, en une phrase, nous parle de la création de l’homme et de la femme « C’est lui qui vous a créés d’un seul être dont il a tiré son épouse… », et du rôle de cette dernière « … pour qu’il trouve la tranquillité auprès d’elle ».

La création de la femme diffère donc de celle de l’homme, et leur rôle aussi. « Il y a en cela des signes pour ceux qui réfléchissent » (s. 30 v.20). Avant d’approfondir cette démonstration, je vais vous parler d’un sujet d’actualité qui date de quelques mois. En effet, le 8 mars dernier, on a eu droit à la journée internationale de la femme. Mais que représente cette journée ? est-ce le signe que la femme se lasse d’être « inférieure » ou de ne pas avoir les mêmes droits et possibilités que l’homme ? cette journée est-elle réellement le signe d’une parfaite égalité entre les genres ? Si rendre égaux tous les hommes sans distinction de religion, de couleur ou de croyance peut-être un idéal légitime, l’égalité entre l’homme et la femme revêt-elle le même aspect ? En pointant du doigt la prétendue infériorité de la femme en islam, l’occident ne cherche-t-elle pas à dissimuler son manque de loyauté envers cette égalité tant acclamée ?

L’égalité de la femme, vue par l’occident : une histoire abrupte

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Vivant en France, je prendrai ce pays comme exemple à mon raisonnement. La France d’aujourd’hui, la France des droits de l’homme et de l’égalité prend racine lors de la Révolution de 1789. A ce moment-là, la femme à commencé à « exister » ; avant cela, elle passait négligemment du père au mari, sans droits, seulement des devoirs, et avec toujours la crainte de se faire répudier. Les révolutionnaires commencent à la voir, et lui accordent le divorce au nom de son bonheur et de sa liberté individuelle. Malheureusement, cette reconnaissance n’est que de courte durée. En effet, en 1804, apparait le fameux code civil des français, qui a fait la législation française et qui rend tant fier ce pays, mais les rédacteurs de ce code n’acceptent pas cette dépendance de la femme et l’affaiblissement du pouvoir marital et considérait que c’était un relâchement des mœurs, une corruption généralisée et rejetaient ce « fanatisme égalitaire » comme le nommait l’homme politique français Jean-Ignace Jacqueminot, on ne lui accordait même pas main mise sur ses biens, qui étaient administrés par un tuteur.

Cette répugnance à voir la femme sortir de l’ombre de l’homme a vraisemblablement disparu au cours des siècles qui suivent, et donne à cette dernière des droits et devoirs égaux à ceux des hommes.

…Un pays qui charge la communauté musulmane d’assujettir la femme, mais qui ne respecte pas son propre principe

Les faits rappelés ci-dessus sont l’introduction historique, qui est maintenant révolu, mais qui nous permet d’avoir un premier aperçu sur l’évolution et la vision faite des femmes, dans ce pays. Aujourd’hui, on laisse place à une égalité absolue et garantie juridiquement entre l’homme et la femme. Oui, mais seulement en théorie, car dans la pratique, c’est différent.

Au regard de l’enquête menée par l’Insee en 2017, on montre que « les filles poursuivent leurs études plus longtemps que les garçons », avec respectivement « 60% » contre « 55% » toujours scolarisés à 20ans. Mais « dès le début de la vie active, les femmes sont moins présentes sur le marché du travail que les hommes, ces derniers quittant pourtant plus tardivement le foyer parental ». De plus, « les femmes de 30 à 65 ans perçoivent un revenu salarial annuel inférieur de 26 % à celui des hommes ». Dans la société, beaucoup de femmes subissent des discriminations, et pas seulement dans le milieu professionnel. Pourquoi ai-je évoqué le fait que les occidentaux chargent les musulmans d’assujettir les femmes pour éclipser leurs propres dérives ? On l’a vue, la notion d’égalité en France laisse une certaine marge d’appréciation entre la théorie et la pratique, mais en islam, peut-on dire que la femme est assujettie ?

Dès sa création, l’islam éleva la femme et ceci est confirmé par Omar Ibn Al Khattab : « J’en jure par Allah, nous n’accordions pas de valeur aux femmes dans la Jahiliyya, jusqu’à ce qu’Allah révélât à leur sujet ce qu’Il révéla et leur accordât ce qu’Il leur accorda » (Rapporté par Mouslim (2/1108), hadith 1479). Dans cette religion, la femme n’est pas dépourvue de droits. Au contraire, elle est semblable à l’homme en matière de responsabilité vis-à-vis des lois islamiques, elle est astreinte aux mêmes obligations que l’homme à quelques points près, d’ordre physique.

Allah SWT dit : « Aux hommes revient une part de ce qu’ont laissé les père et mère ainsi que les proches ; et aux femmes une part de ce qu’ont laissé les père et mère ainsi que les proches, que ce soit peu ou beaucoup : une part fixée ». (Sourate 4 An-Nisa, verset 7), ce verset montre sans équivoque le droit d’héritage donné à la femme.

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De plus, l’islam rompt avec la doctrine des érudits des religions précédentes, qui marginalisent la femme en lui imputant le péché originel et de ce fait, l’expulsion d’Adam du Paradis.

La liberté donnée à la femme en Islam est bien supérieure à la majorité des autres religions, et de beaucoup de civilisations, et ceux qui prétendent le contraire font preuve d’un certain manque de science.

Malheureusement, ces idées occidentales sur l’émancipation et la libération de la femme se répand dans notre communauté, et si l’éclosion de ce sentiment de liberté à une origine vitale en considérant le manque de reconnaissance de la femme en occident, cela conduit aussi à des dérives.

Le danger d’une égalité absolue

J’en reviens au sujet de la journée internationale de la femme, célébrée dans de nombreux pays le 8 mars de chaque année, créée le 28 février 1909, a pour but de lutter pour les droits des femmes et contre les inégalités que subissent ces dernières. « La journée de la femme » écrit par Amina Haddad, diplômée en Shari’a traite du danger d’adhérer à toutes les idées et aspects que représente ce concept de la journée de la femme, ou de l’égalité absolue entre un homme et femme. Elle dit à propos de cela que cette journée est « comme si celui qui a institué ces fêtes savait que désigner une journée pour parler d’une question donnée conférerait aux mots une forme irréelle, à telle enseigne qu’ils deviendraient plus grands qu’ils ne le sont en réalité (…). En ce jour-là, ceux qui manipulent la femme, comme un pion aux échecs, ne manquent pas de provoquer en elle de vives émotions au moyen de paroles fausses et de slogans fallacieux (…). Certaines femmes se laissent tromper, non à cause de leur audace excessive, mais parce qu’elles manquent de raison et de foi ! (…) En jetant un regard furtif sur l’histoire et la réalité, les choses s’éclaircissent et se manifestent : l’histoire nous apporte que la femme s’est mise à revendiquer l’égalité et la libération de la soumission et des souffrances, et ce, à cause de l’injustice qu’elle a vécue en Europe ; une injustice qui a commencé par l’église, qui l’a qualifiée de diable et d’esclave soumis à l’autorité de l’homme, et s’est soldée par une exploitation odieuse et manifeste durant la révolution industrielle »

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Cette ambition de devenir l’égale de l’homme est dangereuse, certaines femmes, ont eu l’esprit enivré par le souhait de voir triompher leur cause, et ont dépassé les limites. Ainsi, lors d’une conférence féministe tenue à Sanaa au Yémen, l’une des participantes pose la question suivante : « Allah est-il masculin ou féminin ? », et dans le même esprit, une écrivaine s’est alors demandée « pourquoi Allah ne devrait pas être féminin dans l’esprit des gens au lieu d’être masculin ? ». De plus, une femme nommée Houda Ech-Cha’rawi, fut la première femme égyptienne à retirer son voile publiquement tout en appelant les gens à le bannir. Par ce geste, elle revendiquait l’annulation de toutes les différences qui opposaient la femme de l’homme.

N’est-ce pas plus sage de favoriser la notion d’équité plutôt que d’égalité ?  

Parlons de la genèse de la femme. Sa création diffère de celle de l’homme. L’homme à un physique différent de la femme, et même dans la physiologie ou la psychologie des deux sexes, on compte de nombreuses dissemblances.  En plus du processus de création, l’objet de leur création aussi est différent. Cet objet, nous le voyons, nous le côtoyons et sûrement, nous avons pris l’habitude de ne plus y prêter attention. Les femmes d’aujourd’hui s’investissent plus pour leur réussite professionnelle, et comme on l’a vu, même en ayant un meilleur taux de réussite dans leurs études, elles sont quand même désavantagées sur le terrain professionnel au profit des hommes, et c’est vrai que ça conduit les femmes à vouloir se battre pour ce pour quoi elles ont tant travaillé, et c’est sûrement une des plus fortes raisons qui nous pousse à réclamer une égalité entre les genres. Mais regardons de plus prêt ; certaines, se donnent corps et âmes professionnellement et arrivées à un certain âge, elles se posent des questions : pour les femmes qui ont eu la chance d’arriver à fonder une famille, elles reviennent sur les moments familiaux et/ou conjugaux auxquelles elles n’ont pas assistées, et pour celles moins chanceuses, qui ont été accaparées par leurs concurrents féminins et masculins, n’ont pas eu le temps de fonder une famille.

Allah a donné à la femme la possibilité d’enfanter l’homme, de l’éduquer et ainsi, de faire le monde de demain. Les hommes n’ont pas cette possibilité et au lieu de se battre pour ce que les hommes ont, n’est-il pas mieux d’apprécier ce grand pouvoir que nous détenons ? Nous voulons avoir de l’impact sur le monde qui nous entoure, et nous en avons la possibilité, et en levant un peu le nez de nos ambitions sociales pour regarder le rôle naturel qui nous a été assigné, nous serions plus satisfaites de notre condition. Voilà où je veux vous emmener : la finalité de notre ambition professionnelle ne doit pas être une compétition qui nous opposerait aux hommes.

Le fait que j’avance l’idée de relativiser la notion d’égalité entre l’homme et la femme ne signifie pas que j’abaisse la femme à une condition primaire, loin de là. L’Islam est l’exemple même de mon raisonnement ; la femme est considérée comme un bijou, une perle, et sa valeure est connue.

Nous nous dénaturons à vouloir ressembler aux hommes, alors qu’il suffit juste de faire cas du fait que malgré nos différences, nos rôles respectifs sont équitables, et respectent un certain ordre naturel.

Les Musulmans et Musulmanes, croyants et croyantes, obéissants et obéissantes, loyaux et loyales, endurants et endurantes, craignants et craignantes, donneurs et donneuses d’aumônes, jeûnants et jeûnantes, gardiens de leur chasteté et gardiennes, invocateurs souvent d’Allah et invocatrices: Allah a préparé pour eux un pardon et une énorme récompense. [Coran 33/35]

J’aimerais partager avec vous une citation de l’auteur Jacques Camatte dans son œuvre « Violence et Domestication » écrit en 1980 que j’aime beaucoup et qui synthétise ma pensée. A propos de l’islam, il dit que « Si la religion a encore une force aussi prégnante, cela est dû non seulement à sa donnée communautaire, mais au fait qu’elle sécurise hommes et femmes, les définissant et leur indiquant leur domaine de vie ».

Mieux me connaitre

Je m’appelle Badialo, j’ai 19 ans et je suis étudiante en licence de droit. J’ai voulu écrire sur ce sujet qui me tient à cœur. Beaucoup de fois on m’a répété que j’étais trop rêveuse, que mes ambitions étaient irréalisables pour une femme, que c’était un milieu d’homme et que jamais je n’y arriverais. J’ai pris cela comme un défi ; je ferais tout pour y arriver, pour prouver à ces hommes que je peux aller aussi loin qu’eux, si ce n’est plus loin. J’ai passé tout le collège et le lycée avec toujours le même objectif en tête. Alors que je n’avais que 14-15 ans, j’étais déjà hostile au mariage et à toute idée de fonder une famille, car « ça me rabaisserait à ma condition de femme » et m’obligerait à « renoncer à mon objectif ». Arrivée à la fac, je me suis posé la question « d’accord Badialo, tu y es, mais si tu arrives au bout et que tu leur prouves que tu l’as fait, que se passera-t-il ensuite ? ». Je me suis rendu compte que mon comportement était orgueilleux et égoïste. Je voulais servir à quelque chose. Montrer qu’une femme est aussi capable qu’un homme, c’est bien, mais utiliser cette force, cette envie de réussir pour aider les autres, c’est encore mieux.

Je suis pour que la femme soit entrepreneuse, qu’elle prenne les devant et qu’elle se lance à la quête d’un objectif professionnel. Cette activité, aussi peu soit elle solidifierait la base de l’éducation humaine, et de notre communauté.

Je ne suis pas pour un combat qui invoquerait exclusivement l’égalité des genres, au détriment de choses plus bénéfiques, telle que l’équité et l’éducation.

Au regard de l’histoire, la femme du 21ème siècle s’est libérée de ses chaînes, elle est enfin émancipée. Cette émancipation émane d’elle, de sa force intérieure.

Je suis une passionnée de l’histoire. Je considère que l’histoire est l’introduction de toute choses. Comment connaître l’islam sans connaître ces débuts, comment connaître notre espèce si nous ne connaissons pas notre histoire. Et c’est cette histoire qui nous a prouvé la particularité de la femme et son importance.

Partir à la quête d’une égalité reviendrait à sous-estimer notre force et notre champ d’action. Ce n’est pas l’égalité qu’il nous manque, c’est le courage de créer les choses, de les changer, comme toutes ces femmes avant nous, qui pour la majorité d’entre elles n’avaient à leur époque aucun semblant d’égalité avec les hommes, mais qui ont accompli les plus belles actions et les plus percutantes. Elles n’ont pas regardé si elle était égale à l’homme et ne se sont pas dit que sans cette égalité, elles ne peuvent agir.

Des femmes qui m’inspirent…
  • Khadija bint Khuwaylid, première épouse de notre bien-aimée Prophète-paix et bénédiction-, elle était une riche commerçante de la Mecque, à l’égale des hommes, elle traitait des affaires avec eux, une époque où les petites filles étaient enterrées vivante.
  • Aisha fille d’Abu Bakr,     indiscutablement l’un des plus grands professeurs que l’Islam ait produit, elle appartient à l’ensemble des théologiens illustres qui contenait que des hommes, c’était la seule femme.
  • Assya, épouse de Pharaon, elle vivait dans le luxe et opulence de son mari, mais ne voulant pas appartenir à ce monde d’injustice s’est soulevée contre celui qu’on qualifie comme étant l’homme le plus terrible que l’humanité ait connu, au péril de sa vie.
  • Balqis, Reine de Saba, qui reprit le flambeau de son père, se défendit contre tous ses adversaires masculins et régna sur tous les israéliens.
  • Rosa Parks, surnommée la « première dame des droits civiques » par le Congrès américain, elle a, en refusant de céder sa place dans le bus, provoqué un boycott qui a conduit à la fin de la ségrégation raciale.
  • Malala Yousafzai, la plus jeune personne à avoir reçu un Prix Nobel, cette jeune pakistanaise s’est pris une balle dans la tête par les talibans pour avoir été à l’école, et depuis son rétablissement, elle est devenue « l’emblème » de l’accès à l’éducation et de l’émancipation sociale des femmes.

Voyez toutes ces femmes, pensez-vous qu’elles se sont souciés du manque d’égalité qui aurait pu les freiner, Non ! Elles ont fait face à leurs peurs et agi avec détermination, force et avec cet engagement de changer les choses. Leur place leur a permis d’avoir un large champ d’action et d’aider les autres. Elles ont fait avancer l’humanité.

La sœur Mariama, que j’admire énormément (qu’Allah la préserve) m’as appris que le plus important c’était ce que l’on faisait de notre argent, de notre influence. Si nous avons la possibilité, les moyens, nous devons les utiliser au profit des nécessiteux, aider nos frères et sœurs et contribuer au rayonnement de la Oumma.

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Je vous invite à la réflexion. Chaque personne à un avis différent des choses, et c’est en mettant en commun nos différents points de vue qu’on arrive au meilleur.

Dans l’impatience de lire vos commentaires, prenez soin de vous, de votre Foi et de vos proches.

As salam Aleykoum Wa ramathullahi Wa Barakathu

Badialo


Merci beaucoup, Badialo, je ne peux que t’encourager dans le choix de la personne que tu souhaites être. Continue a développer ton esprit critique, à être à l’écoute de tes émotions, à les comprendre et à les maîtriser. Laisse parler cette intelligence du cœur qui te mènera vers le chemin de la liberté.

A savoir : chaque fois que nous sollicitons l’expertise et les conseils de nos jeunes, nous valorisons leurs compétences tout en modélisant le plaisir d’apprendre.

Mariama, au service de la nouvelle génération 🙂


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Que la paix soit sur vous, je suis Mariama Öztürk épouse et maman de 3 filles. Auteure du blog Ansariya, ici je vous partage des stratégies utiles pour éduquer les adolescentes. Abonnez-vous à ma chaîne Youtube Ansariya pour ne rater aucune de mes vidéos éducatives. Et parce que dans tout ce que je fais, je crois en la remise en cause du système éducatif. Je crois profondément en une manière différente d'éduquer. Ma manière de remettre en question l'éducation est mon engagement à trouver et former les adolescentes qui travailleront à la réalisation de cette vision. Bienvenue dans la communauté ;)

5 commentaires sur “Badialo s’exprime : L’égalité homme femme, un enjeu social ?”

  1. Salam Aleyki Badialo , j’étais impatiente de lire ton article et je ne suis pas déçu tu as réussis à définir exactement ce qui n’allait pas sur le principe d’égalité homme-femme et qu’il vaut mieux se lancer de façon à PROUVER que les femmes aussi son capable de faire aussi bien que les hommes plutôt que de revendiquer une égalité qui n’aura jamais lieu d’être si l’on ne met pas la main à la pâte, Merci pour cette article et que Dieu te préserve et t’aide dans tes projets❤️

    1. Wa aleykoum Salam Nour. Ravie que tu ai aimé et tu a très bien cerné le sujet.
      Amin oukhty maintenant à ton tour, je suis pressé de te lire☺️

  2. Ah je vois que vous n’avez pas oublier je me réserve les vacances pour développer le sujet d’un « éventuel « article Inshaa Allah ..merci pour cette attention de votre part

  3. Salam anlaykoum! Un article très profond et pertinent sur un sujet essentiel dans nos sociétés. À contre-courant de la pensée « populaire et tant médiatisée », c’est un texte réfléchi et argumenté. Merci à toi Badialo de nous ouvrir les yeux et nous amener à la réflexion sur ce sujet qui nous concernent toutes… prenons notre avenir en main sans renier qui nous sommes. J’espère bientôt relire ta jeune plume pleine de fraîcheur.

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